Chants


 

Chevaliers de la table ronde


Chevaliers de la Table Ronde
Goùtons
voir si le vin est bon, (Bis)
Goùtons voir oui, oui, oui,
Goùtons voir non, non, non,
Goùtons voir si le vin est bon. (Bis)

J'en boirai cinq à six bouteilles
Une femme sur les genoux, (Bis)
Une femme oui, oui, oui,
Une femme non, non, non,
Une femme sur les genoux. (Bis)

Pan, pan, pan, qui frappe à la porte ?
Je crois bien que c'est mon amie, (Bis)
Je crois bien oui, oui, oui,
Je crois bien non, non, non,
Je crois bien que c'est mon amie. (Bis)

Si c'est elle que le diable l'emporte
De venir troubler mon plaisir, (Bis)
De venir oui, oui, oui,
De venir non, non, non,
De venir troubler mon plaisir. (Bis)

Si je meurs, je veux qu'on m'enterre
Dans une cav', où y a du bon vin, (Bis)
Dans une cav' oui, oui, oui,
Dans une cav' non, non, non,
Dans une cav', où y a du bon vin.(Bis)

Les deux pieds contre
la muraille
Et
la tête sous le robinet, (Bis)
Et la tête oui, oui, oui,
Et la tête non, non, non,
Et la tête sous le robinet. (Bis)

Et les quatre plus grand ivrognes
Porteront les quatr' coins du drap, (Bis)
Porteront oui, oui, oui,
Porteront non, non, non,
Porteront les quatr' coins du drap. (Bis)

Et si le tonneau se débonde
J'en boirai jusqu'à mon loisir, (Bis)
J'en boirai oui, oui, oui,
J'en boirai non, non, non,
J'en boirai jusqu'à mon loisir. (Bis)

Et s'il en reste quelques gouttes                             
Ce sera pour nous rafraîchir, (Bis)                  

Ce sera oui, oui, oui,    
Ce sera non, non, non,                                      
Ce sera pour nous rafraîchir    

Sur ma tombe je veux qu'on inscrive
Ici-gît le roi des ivrognes
Ici-gît,oui oui oui
Ici-gît,non non non 
Ici-gît le roi des ivrognes

Dudule
http://www.deljehier.levillage.org/telechargements/paillardes/la_grosse_bite_a_dudule.mp3

 


Ils étaient amoureux
Ils s'aimaient tous les deux.
Ils étaient heureux
Chaque soir, chaque matin.
Ils allaient au turbin
La main dans
la main.
A
l'atelier, ses copines lui disaient:
"Pourquoi tu l'aimes tant Dudule,
Il n'est pas beau, il est aml fait."
Mais elle, gentillement, répondait:
"Z'en faites pas les amis
Moi c'que j'aime en lui:

C'est la grosse bite à Dudule
J'la prends, j'la suce, elle m'encule
Ah! mes amis, vous dire c'que c'est bon
Quand il m'la carre dans l'oignon
C'est pas une bite ordinaire
Quand il m'la fout dans l'derrière
J'me sens soudain tout remplie
Du con jusqu'au nombril. Ah Dudule!


Ca devait arriver
Il se sont mariés
Ils ont convolé.
D'abord, ça tournait rond
Ils s'chatouillaient le menton
Mais il lui file des gnons.
A l'atelier ses copines disaient:
"Pourquoi tu l'tue pas ton Dudule
Il est pas beau, il t'a cirée"
Mais elle, gentillement, répondait:
"Z'en faites pas les amis
Moi c'que j'aime en lui:

C'est la grosse bite à Dudule
J'la prends, j'la suce, elle m'encule
Ah! mes amis, vous dire c'que c'est bon
Quand il m'la carre dans l'oignon
C'est pas une bite ordinaire
Quand il m'la fout dans l'derrière
J'me sens soudain tout remplie
Du con jusqu'au nombril. Ah Dudule!

Fanchon


Amis il faut faire une pause
J'aperçois l'ombre d'un bouchon
Buvons à l'aimable Fanchon
Chantons pour elle quelque chose

Refrain
Et Ah! c'que son entretien est bon!
Qu'elle a de mérite et de gloire!
Elle aime à rire elle aime à boire!
Elle aime à chanter comme nous!
Elle aime à rire elle aime à boire
Elle aime à chanter comme nous!
Elle aime à rire elle aime à boire
Elle aime à chanter comme nous
Oui comme nous (ter)

Fanchon quoique bonne chrétienne
Fut baptisée avec du vin
Un bourguignon fut son parrain
Une bretonne sa marraine

Fanchon préfère
la grillade
A
d'autres mets plus délicats
Son teint prend un nouvel éclat
Quand on lui verse une rasade

Fanchon ne se montre cruelle
Que quand on lui parle d'amour
Mais moi je ne lui fais
la cour
Que
pour m'enivrer avec elle.

L'incendie à Rio


En pleine nuit une sirène
Appelle au feu les pompiers
Et tout Rio qui se réveille
Voit brûler l'usine à café
Il n'y a plus de temps à perdre
Sinon tout l'quartier va brûler
Oui mais voilà, pendant c'temps là
A la caserne on entend les pompiers crier
Pa la pa la pa la

Mais où sont passés les tuyaux, les tuyaux, les tuyaux
Mais où est passée la grande échelle, grande échelle, grande échelle,
Mais où sont passés les tuyaux, les tuyaux, les tuyaux
Les tuyaux, il nous les faut.
Pa la pa la pa la

Mais l'incendie fait rage
Et le ciel est noir de fumée
Et tout le monde dans les étages
S'écrie "Mais que font les pompiers
Il n'y a plus de temps à perdre
Sinon l'immeuble va brûler"
Oui mais voilà, pendant c'temps là
A la caserne on entend les pompiers crier
Pa la pa la pa la

Le lendemain, on le devine,
Tout le quartier avait brûlé.
Il ne reste plus que des ruines
Sur des centaines de mètres carrés
Quand tout à coup dans le jour blême
On vit accourir un pompier qui s'écria
"Je viens de la part du capitaine
Pour dire de ne pas vous affoler"
Pa la pa la pa la

On a r'trouvé les tuyaux,
les tuyaux, les tuyaux, les tuyaux
On a r'trouvé la grande échelle,
grande échelle, grande échelle,
On a r'trouvé les tuyaux,
les tuyaux, les tuyaux, les tuyaux
Oui mais voilà, on a pas d'eau.

La digue du cul


La digue du cul (En revenant de Nantes)

La digue du cul en revenant de Nantes (bis)
De Nantes à Montaigu, la digue la digue,
De Nantes à Montaigu, la digue du dul

Refrain :
Lève la jambe, voilà qu'ça rentre
Lève la cuisse, cuisse, cuisse voilà qu'ça glisse
Lève la jambe, voilà qu'ça rentre
Lève la cuisse, cuisse, cuisse voilà qu'ça glisse ohh hisse


La digue du cul, je rencontre une belle (bis)
Qui dormait le cul nu, la digue la digue,
Qui dormait le cul nu, la digue du cul


La digue du cul, je bande mon arbalète (bis)
Et j'lui fous droit dans le cul, la digue, la digue,
Et j'lui fous droit dans le cul, la digue du cul


La digue du cul, la belle se réveille (bis)
Et crie "J'ai l'diable au cul", la digue la digue,
Et crie "J'ai l'diable au cul", la digue du cul


La digue du cul mais non c'est pas le diable (bis)
C'est mon gros dard poilu, la digue la digue,
C'est mon gros dard poilu, la digue du cul

La digue du cul qui bande et qui décharge (bis)
Et qui t'en foure plein l'cul, la digue
la digue
Et
qui t'en foure plein l'cul, la digue du cul

La digue du cul si ce n'est pas le diable (bis)
"Re-fous le-moi dans l'cul", la digue la digue
"Re-fous le-moi dans l'cul", la digue du cul

La digue du cul, puisqu'il y'est qu'il y reste (Bis)
Et qu'il n'en sorte plus, la digue, la digue,
Et qu'il n'en sorte plus, la digue du cul.



La digue du cul, il fallut bien qu'il sorte (Bis)
Il est rentré bien raide, la digue,
la digue
Il
est rentré bien raide, la digue du cul

 

 

Là haut sur la montagne


La Haut sur la montagne,
Les deux pieds, les deux main dans la merde,
La Haut sur la montagne,
Il y avait un gros cul (bis)

Un gros curé de campagne,
Les deux pieds, les deux main dans la merde,
Un gros curé de campagne,
Qui astiquait son bout (bis)

Son bouquin de prière,
Les deux pieds, les deux main dans la merde,
Son bouquin de prière,
Pour confesser un con (bis)

Un condamné à mort,
Les deux pieds, les deux main dans la merde,
Un condamné à mort,
Qui avait trop baisé (bis)

Baisé les pieds de la vierge,
Les deux pieds, les deux main dans la merde,
Baisé les pieds de la vierge,
De la vierge qui pue (bis)

Qui purifie les monde,
Les deux pieds, les deux main dans la merde,
Qui purifie les monde,
Le monde de la-haut (bis)

 

 

 

Les fêtes de Mauléon


Jusqu'au plus petit coin de Navarre
De la Soule et même du Labourd
On parle de Mauléon-Licharre
Avec envie et beaucoup d'amour
Mauléon de ses superbes fêtes
Si vivantes et si pleines d'entrain
De ses Allées de Soule coquettes
De son beau folklore souletin

Refrain:
Farandole qui s'envole
Fandango, feux de
la Saint Jean
Jolies
filles qui pétillent
Dans les bras de leurs chers galants
Cavalcade, sérénade, irrintzina cette chanson
Nuit d'ivresse, d'allégresse (bis)
Tout ça c'est les fêtes de Mauléon

Allez donc un peu voir le programme
Vous me direz s'il est vraiment beau
Vous y trouverez messieurs dames
L'eternelle course de chevaux
De splendides parties de pelote
Et un choix de danseurs souletins
Fandango, danses du verre et gavottes
Tout ça dans l'ambiance des bons copains

- refrain -

La nuit c'est la cohue générale
Du vieux fort au fin fond du plachot
Faut voir un peu comment se trimballent
Nos Maritchus et nos Ramuntchos
Les fougueux bergers de nos montagnes
Et la jeunesse des environs
Ont ce soir déserté
la campagne
Pour
goûter aux fêtes de Mauléon

Les filles de Camaret
http://www.deljehier.levillage.org/telechargements/paillardes/le_cure_de_camaret.mp3

 


Les filles de Camaret se disent toutes vierges (bis)
Mais quand elles sont dans mon lit
Elles préfèrent sucer mon vit
Qu'un cierge (ter)

Mon mari s'en est allé à la pêche en Espagne (bis)
Ils m'a laissée sans le sou
Mais avec mon petit trou
J'en gagne (ter)

Les rideaux de notre lit sont faits de serge rouge (bis)
Mais quand nous sommes dedans
La rage au cul nous prend
Tout bouge (ter)

Jean Marie que fait tu là tu me perce la cuisse (bis)
Faut-il donc que tu sois saoul
Pour ne pas trouver le trou
Qui pisse (ter)

Une supposition que tu serais ma tante (bis)
Je te ferais le présent
De l'andouille qui me pend
Au ventre (ter)

Le maire de Camaret a acheté un âne (bis)
Un âne républicain
Pour baiser toutes les putains
Quel âne (ter)

Sur la place de Camaret y a la statue d'Hercule (bis)
Tous les soirs après l'diner
Le maire et le sous-préfet
L'enculent (ter)

Si les filles de Camaret s'en vont à la prière (bis)
C'n'est pas pour prier l'Seigneur
Mais pour branler le prieur
Qui bande (ter)

Célina si tu m'aimais tu me ferais des nouilles (bis)
Et tandis que je mangerais
Ton p'tit doigt me chatouillerait
Les couilles (ter)

Le curé de Camaret a les couilles qui pendent (bis)
Et quand il s'assoie dessus
Elles lui rentrent dans le cul
Il bande (ter)

O fille de Camaret où est ton pucelage (bis)
Il s'en est allé sur l'eau
Dans les bras d'un matelot
Il nage (ter)

Ma mère m'a donné cent sous


Ma mère m'a donné cents sous
Pour acheter des bretelles
J'ai gardé les cents sous
Pour aller au bordel

Chemin faisant,
J'ai rencontré Grand-Mère
"Où va tu mon enfant ?"
Je m’en vais au bordel !

Garde tes cents sous
"Je ferai bien l'affaire"
J'ai gardé les cents sous
Et j'ai baisé Grand-Mère

Chemin retour,
J'ai rencontré mon père
"D'où viens tu mon enfant ?"
Je viens de baiser Grand-Mère

"Fils de salaud !"
"Tu as baisé ma mère"
Salaud toi même !
Tu baises bien la mienne !!!

 

L’hymne du carabin : (Avé le petit doigt)

 

Les saints et les anges
Et le petit jésus (petit jésus)
Quand ça les démange
Se grattent le cul (oui le cul)

REFRAIN : le petit doigt en l’air et levé
Avé, avé, avé le petit doigt (bis)
Avé le petit doigt la bite au cul
Les couilles pendantes,
Avé le petit doigt la bite au cul
Bien enfoncée,
Ho hé, ho hé, ho hé (bis)

Les saints et les archanges
Ces fils de putains (fils de putains)
Quand ca les démange
Se grattent le boudin (oui le boudin)

 

Les saints et les anges
Comme les Carabins (LES CARABINS)
Quand ça les démange
S’enculent les catins (oui les catins)

 

Petite Huguette (La)

Un jour, la p’tite Huguette,
Tripot’-moi la bit’ avec les doigts,
Un jour, la p’tite Huguette
S’en revenait du bois. (bis)

En chemin elle rencontre,
Tripot’-moi la bit’ avec les doigts,
En chemin elle rencontre,
Un étudiant en droit. (bis)

Il la prend, il la monte...
Sur le foin qu’y avait là. (bis)

Le foin était si sec...
Qu’il en faisait fla-fla. (bis)

La mère d’la p’tite Huguette...
Vint à passer par là. (bis)

Elle dit : " Baise, ma fille...
On n’en meurt pas pour ça ! (bis)

Car si on en mourait...
Je ne serais plus là . (bis)

Car si tu en mourais,
Sur ta tombe, on mettrait : (bis)

Ci-gît la p’tite Huguette
Qu’est morte en faisant ça ! (bis)

En faisant sa prière...
Au grand St Nicolas. (bis)

Le grand saint que les hommes...
Portent la tête en bas. (bis)

Quand ils la portent en l’air...
Ils inondent les draps. " (bis)

 

 

FAIS-MOI UNE PIPERADE

 

 

Quand je rentre chez moi, le soir après la fête
Et qu'il me prend l'envie d'une gâterie,
Je réveille ma femme : elle lêve la tête,
Alors tout gentiment, je lui dis : "Ma chérie...

FAIS-MOI UNE...
...PIPE-PIPE-PIPE-PIPERADE !
AH, FAIS-LA ! AH, FAIS-LA !,
SI ON EST LÀ C'EST POUR ÇA-A-A-A-A !
FAIS-MOI UNE...
...PIPE-PIPE-PIPE-PIPERADE
AH, FAIS-LA ! AH, FAIS-LA !,
SI ON EST LÀ C'EST POUR ÇA !
(bis)

Quand je vois mon épouse tripoter les légumes,
Soupeser les tomates et tâter le piment,
Je regarde la poèle, et mon désir s'allume,
Je lui tends mes oignons, et lui dis tendrement :

Faire une piperade, c'est pas la mer à boire,
Il suffit de savoir se servir de ses mains,
Y mettre un peu d'amour, et là tu peux me croire,
Que rien que d'en parler, tiens, ca me donne faim ! :

Après 4 ou 5 nuits aux fêtes de Bayonne,
Ma femme qui doutait de ma fidélité,
Elle qui croit toujours que je la couillonne,
A été rassurée quand je lui ai demandé :

 

Ah, la salope
http://www.deljehier.levillage.org/telechargements/paillardes/ah_la_salope.mp3

 


C'était une fillette, qui s'appelait Suzon (bis)
Et elle aimait à rire, avec tous les garçons !

Ah ! La salope, va laver ton cul, malpropre !
Car il n'est pas propre, tire-lire
Car il n'est pas propre, tire-là ! (bis)

Et elle aimait à rire, avec tous les garçons (bis)
Mais à force de rire, son ventre devint rond !

Mais à force de rire, son ventre devint rond.
Sa mère lui demande : "Qui t'a fait ,ca Suzon ?"

Sa mère lui demande : "Qui t'a fait ça Suzon ?"
- C'est le garde - barrière, par-derrière la maison !

C'est le garde-barrière, par-derrière la maison.
Il m'a mis dans le cul, un gros bâton tout rond !

Il m'a mis dans le cul un gros bâton tout rond.
Au bout y avait d' la crème ah ! Mon Dieu qu' c'était bon !"

Au bout y avait d' la crème, ah! Mon Dieu qu' c'était bon.
Mais au bout de neuf mois, il vint un gros garçon !

Mais au bout de neuf mois, il vint un gros garçon.
Et il avait la tête, comme un petit oignon !

Et il avait la tête, comme un petit oignon.
La seule différence, c'est qu'il était moins con !

 

Bali balo


Bali Balo dans son berceau
bandait déjà déjà comme un taureau,
"Fils de putain" lui dit sa mère,
Tu bande déjà plus que ton père,
Ah ah Bali Balo, Bali Balo est un salaud.

Bali Balo dans le désert,
Se trimbalait les couilles à l'air,
Arriva un nuage de grenouilles,
Qui lui bouffa la peau des couilles.
Ah ah Bali Balo, Bali Balo est un salaud.

Bali Balo sur sa moto,
Fesait du cent et du zero.
Et dans c'putain de virage,
C'coinça les couilles dans l'embraillage.
Ah ah Bali Balo, Bali Balo est un salaud.

Bali Balo chez les bonnes soeurs,
Se tapa la mère supérieure
La vieille lui dit : "Jamais le seigneur
Ne m'as donné autant d'bonheur".
Ah ah Bali Balo, Bali Balo est un salaud.

Bali Balo dans son avion,
Avec sa femme et son conchon.
Dès que sa femme tourna la tête,
Il encula lma pauvre bête.
Ah ah Bali Balo, Bali Balo est un salaud.

Bali Balo au cinéma,
Péta si fort qu'il s'envola.
Il atterrit dans le coulisses,
Et encula le ponpier de service.
Ah ah Bali Balo, Bali Balo est un salaud.

Bali Balo dans son cercueil,
Bandait encore comme un chevreuil
Avec sa bite en arc de cercle,
Il parvint à soulever le couvercle

 

 

http://www.deljehier.levillage.org/telechargements/paillardes/c_est_a_boire.mp3




IL EST UN COIN DE France

IL EST UN COIN DE FRANCE
OU LE BONHEUR FLEURIT
OU L'ON CONNAIT D'AVANCE
LES JOIES DU PARADIS
ET QUAND ON
LA CHANCE
D'ETRE
DE CE PAYS
ON EST COMME EN VACANCES
DURANT TOUTE SA VIE
AÏLE TOUM CHIQUITOUM AÏLE TOUM LAÏLE (BIS) OLE.

LE JOUR DE SA NAISSANCE
ON EST PELOTORI
DES LA PREMIERE ENFANCE
LE DOUANIER NOUS POURSUIT
QUAND VIENT L'ADOLESCENCE
LES FILLES NOUS SOURIENT
ET L'ON CHANTE ET L'ON DANSE
MEME QUAND ON VIEILLIT

AÏLE TOUM CHIQUITOUM AÏLE TOUM LAÏLE (BIS) OLE.

ET LA NUIT DANS NOS MONTAGNES
NOUS CHANTONS AUTOUR DU FEU
ET LE VENT QUI VIENT D'ESPAGNE
PORTE AU LOIN CET AIR JOYEUX

AÏLE TOUM CHIQUITOUM AÏLE TOUM LAÏLE (bis) OLE.

Je me lave le sexe

 

(sur l'air de Oh when the Saints)
Je me lave le sexe (bis)
Je me lave le sexe au martini (ter)

Je me lave le dard (bis)
Je me lave le dard oui au ricard (ter)

Elle se lave le con (bis)
Elle se lave le con oui au picon (ter)

Je me lave la raie (bis)
Je me lave la raie oui au gamay (ter)

Je me lave les pieds (bis)
Je me lave les oui au perrier (ter)

Elle se lave le clitoris (bis)
Elle se lave le clitoris au pastis (ter)

Je me lave le dos (bis)
Je me lave le dos oui à la kro (ter) ....

 

Le troubadour

 

 

C’est la reine d’Angleterre qui traverse la mer
pour voir si les Anglais baisait mieux que les Français
Mais saperlipopette et sacré non de non c’est encore la levrette qui remporta le pompon

Refrain

C’est le Troubaba
C’est le Troubadour
Qui baise la nuit et qui baise le jour
C’est le Troubaba
C’est le Troubadour
Qui baise la nuit et qui baise le jour

C’est la reine d’Espagne qui dit à son mari
Je n’aime pas le champagne mais je préfère ton lit
Ce soir au claire de lune mon petit Alphonso
je te taillerais une plume pour mettre à ton chapeau

C’est la reine d’Autriche qui se fait ploter les miches
Par un jeune français allonger sur son trône
Mais saperlipopette quatre à six mois plus tard
elle s’aperçu que son ventre était plus gros que son cul

J’ai fait le tour du monde et partout j’ai baisé
Des brunes et des blondes le soir dans les fossés
J’ai sucé les grenouilles et enculé les crapauds
qui me suçaient les couilles le soir au bord de l’eau

 

ALLONS A MESSINE

 http://www.deljehier.levillage.org/telechargements/paillardes/allons_a_messine.mp3

ALLONS A MESSINE PECHER LA SARDINE
ALLONS
A LORIENT PECHER LE HARENG

IL ETAIENT DEUX AMANTS
QUI S'AIMAIENT TENDREMENT
QUI VOULAIENT VOYAGER
MAIS NE SAVAIENT COMMENT

REFRAIN

QUI VOULAIENT VOYAGER
MAIS NE SAVAIENT COMMENT
LE VIT DIT AU CON
TU SERAS BATIMENT

REFRAIN

LE VIR DIT AU CON
TU SERAS BATIMENT
JE SERAI LE MAT
QU'ON PLANTE DEDANS

REFRAIN

JE SERAI LE MAT
QU'ON PLANTE DEDANS
ET MON ROUSTON DE DROITE
SERA COMMANDANT

REFRAIN

ET MON ROUSTON DE DROITE
SERA COMMANDANT
ET MON ROUSTON DE GAUCHE
SERA LIEUTENANT

REFRAIN

ET MON ROUSTON DE GAUCHE
SERA LIEUTENANT
ET LES POILS DE MON CUL
SERONT LES HAUBANTS

REFRAIN

ET LES POILS DE MON CUL
SERONT LES HAUBANTS
ET LES MORPIONS
GRIMPERONT DEDANS

REFRAIN

ET LES MORPIONS
GRIMPERONT DEDANS
LA PEAU DE MES COUILLES
SERA VOILE AU VENT

REFRAIN

LA PEAU DE MES COUILLES
SERA VOILE AU VENT
ET LE TROU DE MON CUL
SOUFFLERA DEDANS

REFRAIN

ET LE TROU DE MON CUL
SOUFFLERA DEDANS
SACRE NOM DE DIEU
ÇA PUERA BOUGREMENT

REFRAIN

 

Y en aura pour tous
 
Pilier (N°1 et 3) :
Sorte de croisement entre un sanglier atteint de schizophrénie et de nain de jardin. Le pilier de base est généralement petit, gras comme un moine, de petits yeux porcins, de la bave aux lèvres et questionne régulièrement ses collègues de cette phrase relativement philosophique 'Quand est ce qu'on mange ?'. Il fait partie de la première ligne, avec son camarade le talonneur et son autre compagnon pilier. Ces sympathiques joueurs ont l'immense honneur de se foutre sur la gueule directement avec leurs homologues adverses lors des mêlées fermées.N'hésitent pas à croquer les oreilles des adversaires : elles sont là pour ça !

Talonneur (N°2) :
De la même sous-famille que le pilier, sauf qu'il est plus petit (et légèrement plus intelligent, mais vraiment un tout petit peu), mais possède les mêmes moeurs carnivores. Contrairement à ce qu'on peut penser, le talonneur a bel et bien pour rôle de coller un bon coup de talon dans le ballon quand le nain de jard...le demi de mêlée l'introduit dans la mêlée (Je me répète et je vous emmerde). Il lui incombe également la tâche ingrate de lancer le ballon en touche, allez savoir pourquoi !
Sans doute les créateurs du jeu trouvèrent que ce poste était trop ingrat (Son rôle se limitant à taper du talon une fois tous les quarts d'heure dans le ballon ...), jugèrent plus judicieux de lui rajouter un petit quelque chose pour équilibrer (Bien que cela reste moins fun que de coller un ballon entre les deux perches

Deuxièmes lignes (N°4 et 5) :
Avoisinant généralement les 2 mètres , ce sont les plus grands de l'équipe, et ils sont bien souvent aussi cons qu'ils sont grands ...Ce joueur bourrin (pléonasme) n'a généralement aucun scrupule à déboîter le fémur de son vis-à-vis ou à l'enterrer vivant dans l'en but. Son rôle est néanmoins important car ces deux grandes perches sont ceux qui contrôlent la direction de la mêlée, et qui sont capables de la retourner (Relativement difficile, car il faut encore manoeuvrer les 3 gros porcs en première ligne...). Leur gabarit en fait également de parfaits sauteurs en touche, les rendant adeptes des batailles aériennes.On a tendance à dire qu'un bon deuxième ligne sauteur en touche équivaut à 5 bombardiers B52

Troisièmes lignes ailes (N°6 et 7) :
Véritables cauchemars des demis de mêlée, leur rôle consiste principalement à aplatir la colonne de ce dernier lors de sa sortie de mêlée, pour l'empêcher de distribuer son ballon aux arrières. Ils plaquent généralement comme des malades, que l'on ait le ballon ou non n'est pas leur problème, on n'a qu'a pas être devant eux... Ils ne sont jamais les derniers quand il s'agit de déclencher une générale, mais sont en revanche les premiers à sortir sur carton tout postes confondus (et les premiers responsables des sorties sur blessures curieusement).

Troisième ligne centre (N°8) :
C'est l'espèce d'énorme tas de muscles au bout de la mêlée. Il est moyennement bien placé dans la mêlée (Il a les culs des deux deuxièmes lignes juste devant les yeux) mais possède un rôle assez équilibré comparativement aux autres avant. En effet, il est bien rare que ces derniers arrivent à traîner leurs grosses carcasses maladroites jusqu'à l'en but sans se faire ensevelir par une horde de crevards auparavant. Un bon numéro 8 doit se montrer percutant, et faire regretter sa naissance au malheureux qui aurait eu l'audace de tenter de le plaquer .Comprenez par là que si un petit malin pense pouvoir se la ramener en tentant un plaquage sur ce véritable char d'assaut, il y a davantage de chance qu'il finisse éparpillé aux quatre coins du terrain que d'arriver à le ralentir ne serait ce que d'un millième de seconde.Faut pas déconner.

Demi de mêlée (N°9) :
Le plus petit gabarit de l'équipe. Autant dire que le demi de mêlée doit régulièrement être remplacé, pour peu que la troisième ligne d'en face se montre pour le moins hargneuse. Son rôle consiste à introduire le ballon dans la mêlée pendant que les deux packs sont occupés à s'euthanasier joyeusement. Puis, si le troisième ligne centre ne s'en saisit pas, il le récupère à sa sortie. Notons que dans ce deuxième cas, c'est là qu'il risque le plus de se ramasser un énorme troisième ligne sur le râble (Pour reprendre les termes de l'Essec). Il doit également avoir un bon jeu au pied, s'il veut survivre assez longtemps pour finir le match, car expédier loin un ballon peut éviter le plaquage (ou pas hélas ...). •

Demi d'ouverture (N°10) :
C'est celui qui ressemble au mannequin de la pub Armani.
Généralemen t un ancien footballeur qui a su retrouver sa lucidité, il doit pouvoir alimenter intelligemment ses trois quarts en bons ballons, tout en étant parfaitement coordonné avec son demi de mêlée. Théoriquement un des joueurs les moins exposés au plaquage avec l'arrière, cela peut très rapidement changer pour peu qu'il s'aventure au delà des 22 adverses en possession du ballon. Il doit être lucide quand les avants ont le nez dans la boue et l'esprit au même endroit.

Trois quarts ailes (N°11 et 14) :
Les trois caractéristiques de ces joueurs sont leur vitesse, leur rapidité et leur vélocité. C'est tout ce qu'il faut pour être un bon ailier ! Rien d'autre. Oh, peut être savoir un peu plaquer des fois que votre vis-à-vis ait survécu aux bombardements des troisièmes lignes et que l'arrière soit encastré dans la pelouse à ce moment là, mais généralement, à part attendre qu'on vous refile le ballon directement dans les mains et filer à tout allure vers l'en but adverse, vous risquez de rentrer dans une phase de sommeil post traumatique assez rapidement.

Trois quarts centres (N°12 et 13) :
Malheureusement pour toi, si tu n'as jamais commis d'homicide volontaire, tu ne pourras pas jouer ce poste. Ces joueurs ne montrent aucune pitié pour leurs adversaires, ils ne parlent à personne, rentrent tout seuls chez eux le soir, sans doute pour aller découper leur voisine à la scie sauteuse. Ils se nourrissent exclusivement de vin chaud et écoutent de la musique bretonne durant leur temps libre.
Des gens dangereux ...

Arrière (N°15) :
Un proche parent du demi d'ouverture, mais plus complet, car en plus d'un coup de pied irréprochable, l'arrière doit savoir délivrer des plaquages impeccables et avoir une bonne vitesse de pointe.
Sans doute le poste le plus stressant du jeu, car si jamais vous vous amusez à faire le con avec vos potes les avants pour aller casser du trois quart, vous risquez fort de vous en mordre la queue en voyant déambuler à fond les ballons cette saloperie d'ailier vers la ligne d'en but. En outre, vous devez résister à une charge sauvage d'un troisième ligne et être prêt à subir une pendaison
 
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