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Les Vieux Crampons d' Ovalix, équipe folklo de rugby du club RMCS77 (Rugby Melun Combs Sénart)


CR du match du 22 février 2013 contre Athis-Mons

 

 

Avant propos :

 

Nous considérons tous les VCO comme une bande de copains et tel est le cas, ce dont je n’ose douter. Il est aussi normal, dans une bande de copains, lorsque l’un d’entre eux a un comportement déviant, qu’il soit recadré par les autres lorsque ce comportement nui au reste de la bande.

Il nous arrive à tous de manquer de discernement dans certaines situations ou d’avoir un comportement « limite » dans certaines circonstances ou état d’esprit, d’avoir du mal à faire la part des choses lorsque la journée a été difficile, mais ce n’est pas pour autant que nous sommes devenus « persona non grata ».  

 

Que celui qui n’a jamais pêché me jette la première pierre !

 

C’est dans ces moments là qu’il faut qu’un proche, qu’un ami se manifeste pour nous dire des choses qu’on a pas forcément envie d’entendre, pour nous dire qu’on « déconne » et que ce qu’on vient de faire c’est pas terrible. C’est vrai qu’il n’est jamais agréable d’entendre des critiques, mais les amis c’est fait pour cela aussi, c’est pour cela aussi que ce sont des amis. Le contraire de l’amitié c’est l’indifférence.

Quand ont parle à un ami, le but n’est pas l’exclusion, bien au contraire par cet acte nous lui montrons que nous ne voulons pas qu’il s’éloigne de notre groupe et qu’il garde nos valeurs.

 

Maintenant, si vous êtes en accord avec ce postulat, il ne faut pas que certains de nos membres prennent de la distance dans de telles circonstances, le message serait contraire, cela voudrait dire qu’il ne faut plus rien se dire sous peine de scission. C’est normal qu’il y ait des coups de gueule et que le tempérament l’emporte quelques fois dans un premier temps, nous ne serions pas des joueurs de rugby sinon, mais la raison fait que ceux-ci doivent être passager et qu’il faut se pardonner et redonner une chance pour montrer aux autres que ce n’était qu’un accident.

 

Chez les VCO, à ma connaissance, nous n’avons jamais exclu quelqu’un, ni nous n’en avons voulu à quelqu’un parce qu’il veut cesser de jouer ou arrêter de venir et ce n’est pas demain que cela va commencer. C’est la liberté de chacun d’entre nous et nous la respecterons toujours. Mais attention, il ne faut surtout pas qu’une petite crise soit le prétexte pour se justifier, car cela aurait tout l’effet contraire et mènerait à une certaine incompréhension.

Ce genre de décision se doit d’être pris et annoncé de façon déconnecté pour éviter les amalgames.

 

 

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Le match :

 

Comme d’habitude « Moi » a dégainé très vite et je ne sais pas si c’est ses neurones ou ses doigts ou les deux encore congelés, mais je n’ai pas tout compris de ses propos surtout vers la fin de sa prose. Quelques fois il faut retrouver ses esprits au lieu de se lancer à chaud, surtout quand le froid inhibe quelque peu nos facultés.

 

Il se targue d’y avoir été et c’est très bien, mais lorsqu’il insinue que le JCO se chauffait le cul au club house pendant le match, il fait preuve d’une mauvaise foi digne de notre honorable confrérie du JCO, serait-il tenté par une reconversion dans le futur ?

Même si nous n’avons aucun besoin de nous justifier, comme le rappelle notre vénéré confrère « Langue de P… », je tiens à rétablir une vérité pour ceux qui n’étaient pas là. Avec Philou, nous avons passé tout le match dans les tribunes, à nous geler les burnes (c’est pour la rime) et bien d’autres choses, pour admirer nos Valeureux Combattants d’Ovalie qui ont fait montre d’un beau courage et d’une totale abnégation pour défendre nos couleurs et préserver le seul essai du match marqué par les VCO.

Mais je ne vais pas m’étendre encore plus là-dessus car tous les témoignages de cette semaine résument parfaitement ce bel état d’esprit et j’invite ceux qui ne l’auraient pas encore fait à les lire.

 

Maintenant à savoir si un membre du jury peut décider seul de qui doit avoir la Couille d’Or, je ne comprends pas pourquoi « moi » ose poser la question (non ce n’est pas un russe qui parle !).

 

Je vous laisse seuls juges et vous pose les questions suivantes :

 

Devrions-nous ne pas décerner de Couille d’Or faute d’être seul à décider ?

 

La légitimité du JCO nécessite-t-elle un quorum ?

 

Devrions-nous renoncer à un match car nous ne sommes que quinze ?

 

Je pense que la réponse est évidente.

 

Par contre je voudrais revenir sur un point, les maillots. Même s’ils sont une réussite esthétique, ils sont une calamité pour le JCO qui est amené à identifier les joueurs. En effet, l’absence de numéro dans le dos, les conditions nocturnes, les lumières de face créant un contre-jour et le froid de vendredi qui nous faisait larmoyer les yeux ont accentués cette difficulté.

 

Alors de grâce, pour le prochain maillot n’oublions pas le numéro. Je lance même une suggestion, nous pourrions pour l’attribution des numéros le faire par ordre d’ancienneté chez les VCO, ainsi un numéro ne sera attribué qu’une fois et tout nouveau VCO prendra le prochain numéro sur la liste. Cela demande un peu de recherche pour les actuels VCO et nous aurions surement besoin des lumières de Marie-Claude.

 

Les nominés :

 

Comme l’a dit si justement Arnaud D, nous n’avons pas eu beaucoup de choses à nous mettre sous la plume, mais qu’à cela ne tienne, même dans la difficulté le JCO sait toujours prendre ses responsabilités.

 

1er Nominé :    Birdy qui par deux fois a joué au coffre à ballon. Il oublie de jouer un surnombre à l’extérieur et préfère revenir à l’intérieur se réchauffer parmi les avants.

 

2ème Nominé : Yves qui à plusieurs reprises s’est rendu coupable de passes hasardeuses. Et oui, par ce froid les artistes ont du mal à s’exprimer et ce malgré quelques belles chistés.

 

 

 

Le Couilledorisé :

 

L’heureux élu est Birdy.

 

Une fois n’est pas coutume, mais pour ceux qui n’auraient pas lu les différents échanges de courriers électroniques de cette semaine, je relais les protestations de Birdy qui s’estime victime de notre sectarisme envers les trois-quarts et affirme que nous n’aurions pas, volontairement, vu un avant qui aurait fait la même chose mais en plus flagrant. Faute avouée est à moitié pardonnée !

 

Moi (irréfragable et non « moi » l’infâme), je lui pose la question : Ne serait-ce pas parce que nous avons pu être abusés par une silhouette qui de dos pouvait nous faire penser que c’était lui, à un poste où il était sensé être ? (Cf. mes propos ci-dessus pour les maillots)

 

Non Birdy, nous n’avons rien de particulier envers toi, au contraire, tu connais le proverbe : Qui aime bien châtie bien ! Et nous nous t’aimons beaucoup.

 

D’ailleurs nous vous aimons tous beaucoup, méfiez-vous !!!

 

Pour finir je souhaite à notre ami Quentin qui nous a donné des nouvelles rassurantes sur son état de santé, et je l’en remercie, un prompt rétablissement et un retour parmi nous en pleine forme.

 

Pino alias « Irréfragable ».  



Billet du moi j’en suis

 

 

Qui c’est qui , qui sera là ? qui c’est qui , qui mange ? qui joue ?, moi j’avais bon aux deux questions, c’était facile j’ai  répondu pareil deux fois, aux deux, enfin  je veux dire une fois à chaque, mais pareil …. 2 fois

 

20 qui z’en sont sur le papier, et finalement nous partâmes à quinze et revaînmes à quatorze, car le Quentin ,au bout de 10mn à pas vu le bus venir, et paf le chien,  extinction des lumières on ferme, il a fini dans le camion à pin pon, direction l’hosto, mais tout est bien qui fini bien enfin je crois vu que sa ginette (c’est un pseudo) l’a récupéré et ramené au chaud sous l’édredon, et là je me demande si c’est pas lui le plus malin ! !

Du coup on se dit , même pas peur, ils sont nombreux ,il neige , il fait froid, le couloir des 5 mètres est une patinoire (véridique j’y était  moi), y a un arbitre et un ballon, l’horreur tout se ligue contre nous, va falloir jouer avant de bouffer.

Et là que du bonheur, tout le monde à donf, du gif sur yvette , comprendront ceux qui y étaient là aussi à gif, personne n’ a moufté, ou s’est défaussé ,jusqu’au bout, même l’arbitre sous la charme a laissé filer la dernière action pendant 20 minutes, et oui 40 mn d’affilé les vieux, sur les rotules et encore une victoire dans la besace.

Et de la qualité, pas de la berceuse, du beat ô vent, non monsieur, du Wagner, la chevauchée des Walkyries, version mal rasés et service 3 pièces dans le caleçon.

Vous avez la larme à l’œil et la pilosité qui se dresse,  tant pis valait venir.

Mais y a quand même un truc qui me chagrine, malgré que le Manager Président Directeur Adoré pour des raisons politico-diplomatico-bureaucratiques, m’ai censuré lors du dernier match, je dois revenir sur ce qui s’est passé, car cela est inadmissible , de quel droit une seule personne peut elle décidé , d’une chose aussi importante que la remise de la couille d’or, car en effet l’irréfragable sans assesseur , à juger et décerner le trophée, non manager tu ne me fera pas taire, non à ton despotisme protecteur d’une institution sur le déclin, la triplette doit être complète, et même si vendredi ils furent 2, à se préparer des hémorroïdes, le cul sur le radiateur électrique du clubhouse, il est de ton devoir de rappeler les devoirs (bis répétita) et obligations de tous envers chacun et les autres aussi par rapports à tous.( démerdez vous avec ça)

 

Alors si tu fatigues et te laisser tenter par une baisassion des bras, fais gaffe, car MOI et oui MOI, j’ai encore mes chicots, et je te marque à la culotte, toi et tes vénérables, et pas besoin de m’asticotez des masses pour me sortir les vers du claviers.

 

Bien à toi , bien vous JCO , votre irrespectueux serviteur, MOI , anonyment MOI

 

PS : pour le prochain match…… moi j’en suis




CR du match du 23/11/2012 contre Sucy.

 

 

 

Avant propos :

 

Comme à l’accoutumé maintenant, les velléités d’écriture sous pseudonyme se sont déchaînées et encore « moi » s’est tût (ou c’est tu). Notre nouvel arrivant au doux nom évocateur « D’El Guacamole », se fait encore le défenseur des pauvres petits jeunes que le vilain JCO se fait un malin plaisir de punir.

La réponse est venue, du tac au tac et de fort belle manière, de la part d’un joueur qui n’a pas été « épargné » par le JCO et qui a expliqué comment il percevait ces nominations. Et quoi de plus beau que ce soit un joueur, qu’on ne peut taxer « d’ancien », qui explique aux plus jeunes ce qu’est la substantifique moelle de la Couille d’Or, merci et bravo à Nico.

 

Maintenant, une petite précision pour « El Guacamole » et pour les autres il va sans dire, pour le JCO il n’y a pas de jeunes ou de vieux, d’avants ou d’arrières, de mince ou de gros (qui peuvent être indépendamment des avants ou des arrières, j’ai des exemples), il n’y a que des VCO qui lorsqu’ils sont sur le pré sont tous égaux et lorsqu’une de leur action de jeu mérite d’être nominée, voire récompensée, ce ne sont pas les allégations diffamatoires (je sais c’est un pléonasme) d’un Avocat assaisonné à la sauce mexicaine, de surcroit redresseur de tort, qui vont faire pression sur le Jury de la Couille d’Or et leur verdict.         

 

Maintenant je voudrais aussi remonter un petit problème, lors du dernier match nous avons étrenné nos splendides nouveaux maillots et salué cette inauguration par une belle victoire, sauf que dans l’obscurité et sans les numéros dans le dos, la tâche du Jury va être très difficile et le risque d’erreur sur l’identité d’un joueur sera amplifiée.

Les polémiques n’ont pas finies de se faire jour, je vois déjà se poindre les billets doux de nos anonymes toujours prêts à redresser les torts et rétablir la vérité, leur vérité. Qu’à cela ne tienne et c’est tant mieux, nous prendrons toujours plaisir à lire leur prose accusatrice et prendrons non moins de plaisir à leur répondre sans nous prendre au sérieux et dans la dérision car ce qui nous rapproche, comme le dit si bien Albert un de nos illustre VCO et grand connaisseur c’est : « le jeu toujours le jeu ».          

 

 

Comme je le citais ci-dessus, les VCO ont renoués avec la victoire et ont fait honneur à leurs nouveaux maillots, Sucy a résisté une bonne partie du premier tiers temps et ne doit de ne pas avoir encaissé d’essai trop tôt à un manque de collectivité de certains. Ensuite un peu plus de collectivité et une main mise plus prononcée de nos avants sur le match ont permis à nos arrières de s’exprimer et l’addition aurait du être plus lourde sans certaines maladresses. Le match se termine par la victoire des VCO par 5 à 0.

 

Venons en aux nominés :

-          Jean-Paul : Garde la balle trop longtemps et s’en débarrasse à un moment où il aurait fallut la garder.

-          Bastos : Et oui une fois n’est pas coutume, il ne voit pas un 3/1 imparable et fait avorter une action qui aurait du aller jusqu’à la terre promise. Cette fois le boulet (de la CO) n’est pas passée loin.

-          Yves « le maître es chistera » : Il nous a fait la démonstration d’une nouvelle forme de passe chistera qui au lieu de passer dans le dos est faite de face. C’est une sorte de passe vrillée à une main dont il a le secret que je vous invite à venir découvrir pour le prochain match, c’est surprenant.

-          Arnaud : A 1,50 m de l’en-but alors qu’il n’a qu’à saisir la balle et la poser en terre promise pour célébrer son premier essai chez les VCO, il choisi le plus difficile et commet un en-avant.

-          Birdy ou Alix ou ?? : Je n’ai pas vu et ceux autour de moi étaient aussi perplexes, vous savez à cause des maillots. Et bien ce joueur s’est rendu coupable aussi d’un excès de personnalité alors que nous sommes en surnombre.

 

Donc pour ceux qui ont lus la prose d’El Guacamole vous savez que c’est Arnaud le nouveau venu qui s’est vu remettre la Couille d’Or pour il paraît une faute pas flagrante, je vous laisse juger par vous-mêmes.

 

Maintenant je souhaite qu’Arnaud se reprenne pour nous gratifier de son premier essai et de son premier tour de terrain dans le plus simple appareil. D’après ce que j’ai vu lors du match et des qualités du gamin, mis à part son petit moment d’inadvertance, je pense que cela ne devrait pas trop tarder.

 

Bienvenue chez les VCO.   

 

 

 

PINO alias « Irréfragable »        
  

 

Très cher sauce à tacos,

ton jeune âge et ton ignorance (due à ton jeune âge) t’obscurcissent l'esprit.
Car il est ici en effet question d'ESPRIT.
La couille d'or n'est pas une punition ni une sanction qu'on donne à un enfant impétueux !!
C'est une récompense que l'on se transmet en famille, de pair à pair. Et quand le jury (dans son extrême mansuétude) décide de remettre sa sainte offrande à un novice, c'est qu'il estime que le récipiendaire saura véhiculer les valeurs que l'on aime et que l'on veut transmettre chez les VCO : que l'on appelle familièrement (en famille donc) l'ESPRIT.
Si quelques jeunots s'offusquent de recevoir ce trophée mille fois convoité et remis, c'est que le jury aura commis la première erreur de jugement de son histoire : ne pas reconnaître l'ESPRIT dans les yeux d'un rugbyman.
Pour te conter mon expérience (qui n’intéresse que moi) je ne me suis senti VCO qu'après avoir revêtu sur mon torse la Couille d'Or et senti le poids des dizaines d'épaules qui l'avaient auparavant portée.
Avoir la Couille d'Or est une chance, et ton regret devrait être de ne point l'avoir encore méritée.

Nico K




Le billet d’El Guacamole

Bonjour à tous, à l’aube d’une nouvelle semaine et à l’approche du prochain match, il faut mettre un terme à une habitude en phase de perdurer, car force est de reconnaître  pour  une fois de encore, une fois de plus , voir une fois de trop, c’est encore un jeune qui est couilledorisé, pour ne pas dire couillonné. L’excuse servit par le JCO, comme quoi se serait un mal pour un bien, pose la question de savoir, si une bonne éducation se bâti dans la sanction systématique, ou dans une pédagogie préventive et de bon aloi.

C’est Arnaud petit nouveau, qui est récompensé pour une erreur ,qui ne fut flagrante que pour le JCO, et à persécuter ne risque t on pas de décourager ces jeunes volontés. Alors que du progrès il y en a, j’en veux pour exemple, sammy «  trace sa race », rappelons nous cet ingénieur de la trajectoire, qui est passé de la diagonale reculante, à la droite parallèle à l’en-but, la zigzagante « oups la porte est fermée » , « oups là aussi « , heu reoups qui veut du ballon », pour finir maintenant par une diagonale dans le bons sens mais en plus je passe ma balle à l’ailier, ce qui est logique vu que quand un ailier part de travers, arrivé de l’autre coté à part son collègue ailier, je vois pas à qui il pourrait faire sa passe. Solero, catégorie poids plume, mais qui s’entête à jouer devant, si il n’arrive toujours pas à traverser, maintenant il avance, cela s’ appelle l’opiniâtreté. Devant on en a 2 pour le travail un gras, raph et germain, qui maintenant arrive à arrêter de papoter, et à jouer etc….

J’ en ai oublié surement, mais pas le temps de tous vos nommés, vous qui donnés sans compter, et je sais que l’injustice et la non reconnaissance de vos efforts risquent de peser, sur vos épaules encore frêles et délicates . Mais vous n’êtes plus seuls dans ce combat, car je suis là pour défendre vos droits, par contre à l’impossible nul n’est tenu, et il y a des actes indéfendables, et si le JCO tenait à couilledorisé Arnaud petit nouveau, il faut dénoncer l’incivisme de ce gamin, qui faisant fi de toutes les traditions, n’a pas couru nu autour du terrain pour son premier essai, je pense que nous nous en souviendrons .

Bien à vous

El Guacamole (l’avocat qui pique)


Depuis le début de la soirée on pataugeait dans une ambiance monotone. Pas ennuyeuse mais pas vraiment joyeuse non plus. Cela a commencé par la bière qui était fadasse (l’un de nos éminents membres n’a même pas terminé son verre. C’était un présage, non !!!)

Le temps était pluvieux, un temps d’automne. On savait que le match se jouerait devant et que les arrières allaient avoir froid aux mains. (La suite du récit confirmera nos réflexions). Plusieurs joueurs VCO trainaient tranquillement au bar, attendant le dernier moment pour aller se changer.  Chacun était convaincu de nos forces et il était inévitable que, comme  d’habitude, nous allions faire un gros match.

Après un échauffement allégé, pour certains, le match pouvait débuter sous une pluie battante. D’entrée de jeu, les Consuls montrèrent une grande envie  sur les placages et dans tous les regroupements. Nos joueurs, la tête encore dans le vestiaire, subirent sous la pression (eux pourtant habitués et à l’aise dans cette ambiance, au bar)

1er tiers temps dominé par nos adversaires.  Un 2ème tiers temps où nous relevons la tête et égalisons. Au cours du 3ème tiers temps, après que chacun ait essayé de sauver l’équipe individuellement, les arrières des Consuls, meilleurs techniquement, firent la différence et nous dûmes nous incliner 2 essais à 1.

Encore une fois, ce fut au cours du 1er tiers temps que nous pûmes choisir notre élu de la soirée parmi les nominés :

Grégoire : sur le coup d’envoi, il rate la réception de balle. Heureusement il se rattrape par un joli placage. Plus tard dans le match, il cherche à dégager en touche mais ne réalise qu’un geste technique de mini-poussin : coup de pied d’environ 5m qui arrive directement dans les bras d’un adversaire. Et en plus, il rate le placage sur le mec.

Grand Pill’s : Où est passé le Sébastien démolisseur que l’on a connu (Chabal sans la crinière). ? Nous étions tous à nous frotter les mains lorsque nous avons vu ce joueur lancé, droit sur Sebastien prêt à l’accueillir sur son épaule. Un « waouh » traduisait déjà nos craintes pour ce malheureux. Quelle ne fut pas notre surprise de voir le gus se relever. (Après enquête, Seb a depuis un match contre les monstres des Carpates, une épaule défaillante)

Samy : Comme à son habitude, Samy se dépense sans compter et il couvre énormément de chemin sur le terrain. Malheureusement pour son équipe, il en parcourt plus en courant de travers ou vers sont embut.

Olivier : Le maillot propre après un premier tiers temps ou il s’est surtout fait remarquer par ses nombreuses tentatives de placages. Par malchance toutes ont été des échecs. Pourtant avec ce terrain gras c’était sans risque pour son corps de jouvenceau.

Baboun : Pour avoir suivi ses aventures sur la toile, il nous semblait qu’il s’était blessé assez gravement lors de l’extraction d’un bouchon de bouteille récalcitrant. Il faut croire que la boue du stade de marché marais à des vertus de guérison  encore insoupçonnées. (Cela me remémore une piscine à Casablanca, un jour on jouera à Lourdes). Donc Arnaud D. se retrouve miraculeusement guéri et arrive en sauveur sur le terrain (peut être pour mieux coacher ses troupes). Il faut croire que les dieux du rugby n’étaient pas avec nous ce soir.

Passons rapidement sur Arnaud  G. reconverti en lanceur de pizza.

GG : Il était impressionnant notre GG à faire des grands moulinets avec ses bras lorsqu’il a fallu remplacer notre talonneur. Moi qui ait pas mal d’ancienneté dans ce club, je l’ai toujours vu joueur au talonnage.  Nos yeux d’expert ont décelé la malice : notre ami aime briller et ce n’est pas au talon que l’on se fait remarquer.

Ptit rouge : Toute la soirée nous nous somme demandé ce qui avait transformé notre Seb habituellement si adroit, en un joueur très ordinaire. Peut être qu’il construit sa maison en ce moment, puisqu’il à balancé des parpaings toute la soirée. (Autre hypothèse : a été en formation avec Yves pendant ses vacances). Mais là, c’est de la médisance et ça n’engage que nous les membres du jury. Notre ami s’en est rendu compte car, certainement irrité par ses maladresses, il a activement contesté les décisions de l’arbitre et s’est essuyé quelque fois les mains sur les adversaires. (il est à noter que le filou à fait semblant de s’éclipser pour ne pas recevoir le trophée qui devait lui revenir)

Par défaut, c’est Samy qui a été élu l’homme du match et a reçu le magnifique pendentif

 

 

Une règle importante à respecter : pour jouer il nous faut un arbitre, c’est souvent un pote qui s’y colle. Il le fait pour vous mais aussi pour trouver un peu de plaisir. Lorsque cela devient une corvée, vous imaginez que nous ne sommes plus dans le plaisir !!  Pensez-y la prochaine fois.

 

Il faut aussi remercier l’équipe des Consuls qui nous a offert une belle soirée de rugby. Cela faisait longtemps que nous n’avions pas perdu sur notre terrain.

Une remarque du jury (éminent spécialiste du jeu puisque détenteur du savoir) : il sera intéressant qu’à l’entrainement les trois quarts fassent un travail spécifique sur le jeu déployé. Le but étant d’avancer vers l’en-but adverse, pas de se faire des passes pour que l’ailier ce retrouve dans notre en-but avec le ballon.

 

Il n’y a pas de soirée VCO sans un bon repas et celui que nous avait préparé Langue de Pute était excellent. Merci à tous ceux qui ont collaboré au bon déroulement de cette soirée.

 

Signé : PO, en l’absence du grand maître, le petit jeune du JCO.




 

Le changement c’est maintenant ??

Phrase à la mode , le changement c’est maintenant, ils l’ ont appliqué, qui ça ils, bein le JCO bien sur.

Ils ont remplacé un vieux par un ……vieux, mêmes causes mêmes effets.

Le CR arrivera surement un jour, vu que maintenant c’est un CR tous les 2 matchs. C’est la réponse désabusée que m’a fait le manager quand je lui ai posé la question, pauvre homme.

Le changement c’est maintenant, quoique  vu comment on a pourri notre arbitre, on se demande quand. On lui a tellement pris la tête, qu’il s’est dit enculé pour enculé, autant donné un essai à l’adversaire, et pan dans les dents, je laisse mon sifflet à un courageux volontaire masochiste, et là c’est l’équipe adverse qui prend le relais et 2ème arbitre qui rentre à la maison. Pourtant c’est des gars chez nous les arbitres, des poteaux qui jouent dans le même camp alors pourquoi on les pourri dès qu’ils ont le sifflé en bouche. Quand on a pu les jambes  faut bien trouver une excuse. C’est la réponse désabusée que m’a fait le manager quand je lui ai posé la question, pauvre homme.

Le changement c’est maintenant, pourtant on a le même cuisinier, alors quoi régime diététique, économie de budget, serrage de ceinture gargantuesque, les assiettes à peine pleines, des entrées mais pas pour tous, c’est quoi  ce bordel on a faim nous . Quand t’as 30 mecs qui te répondent pour la bouffe et 40 lascars à table, forcément cela plombe les portions. . C’est la réponse désabusée que m’a fait le manager quand je lui ai posé la question, pauvre homme.

Alors je l’ ai rassuré le manager, je lui ai dit , garde espoir , y a des trucs qui change, regarde on a perdu notre match……

Et là j’ ai pas compris, il a souri et m’a dit , le changement c’est pour bientôt, j’ai pas trop compris pourquoi, mais je l’ ai senti  zen sur ce coup là, comme reposé

Par contre y a un truc qui ne changera pas, c’est l’acuité de mon regard critique et incisif, les relents de mon haleine fétide, verdissant vos visages blêmes, car je suis là bien en place, bien visible aux  vus de tous, car vous me reconnaissez , c’est MOI

 

L’ anonyment MOI 



CR des matchs du :

 

- 12/10/2012 contre les Sangliers de Ponthierry (il me semble) ;

- 19/10/2012 contre les verres de rouge de Neuilly/Marne.

 

Nota : Pour éviter que nous demandions toujours : « C’est qui les gars d’en face ? », serait-il possible de le mettre sur le mail de convocation (merci Arnaud).

 

 

Avant propos :

 

Une fois n’est pas coutumes (je sais je suis de mauvaise fois), j’ai un peu tardé à faire les CR des matchs cités ci-dessus, mais bien m’en a pris car les passions se sont une nouvelle fois déchaînées.

Encore une fois sur le métier il faut remettre l’ouvrage et avant que le « moi » ne s’installe dans le subconscient des VCO de manière trop insidieuse, que le caillou s’insère dans la chaussette et favorise le boîtage et de façon générale que ce soit la porte ouverte à toutes les fenêtres, le JCO se devait de réagir.

A peine la rentrée consommée, voilà déjà le JCO voué aux Gémonies par « moi » (le moustique des mollets il paraît).

Bien que je sois tout à fait en phase avec les propos de mes éminents collègues (L…de P… et Philou), je me devais de les compléter leurs et apporter quelques éclairages pour les nouveaux arrivés et remémorer certains principes aux anciens.

 

Un peu d’histoire : Cette institution remonte aux temps jadis où lors des matchs, certains joueurs se permettaient une certaine décontraction qui les amenait quelque fois à faire n’importe quoi sur le terrain. Mais il n’y avait personne pour les en blâmer et remettre ces brebis égarées dans le droit chemin du beau jeu et ce n’est pas les joueurs entre eux qui pouvaient régler ces problèmes cela aurait conduit à la foire d’empoigne.

Tout le monde fût convaincu qu’il fallait une institution extérieure pour cela, une institution que les joueurs pourraient craindre et envers laquelle ils pourraient déverser leurs rancœurs refoulées de joueurs incompris des autres. Le JCO était né, il serait chargé d’attribuer un trophée à celui s’étant rendu coupable de la plus grosse « couillonade » (comme ils disent dans le midi) d’où le nom du trophée « Couille d’Or » et le nom du JCO.

 

Tout cela a permis de mettre de l’ordre, mais il est vrai que dès lors qu’un joueur avait fait la grosse couillonade, les autres s’estimaient couverts et se laissaient aller à leurs premiers démons, nous replongeant ainsi dans les turpitudes du passé que nous croyons révolu.

C’est pour cela que le JCO s’est adapté et a modifié ses critères d’attribution plongeant ainsi les joueurs dans l’incertitude et évitant ainsi une certaine routine. Cette incertitude s’appelle « mauvaise foi » et quoi de mieux que cette mauvaise foi pour créer de l’incertitude. De l’incertitude naît le dépassement de soi en évitant l’instauration de la routine, quand le joueur ne maîtrise pas les critères de sélection, il fait du mieux possible et cela le pousse à se sublimer.

 

Soyez en sûr nous serons toujours ces aiguillons là.

 

Donc quand « moi » dit et je le cite : « une  limite a été franchie vendredi soir, limite mauvaise foi … » et bien je suis heureux et c’est la preuve que nous sommes conformes à nos principes et à notre fondement.

 

Il nous accuse aussi « d’aveuglement envers les gros » et de faire de « l’anti jeunisme », mais il se trompe de combat et n’a pas compris notre dessein.

Je m’explique : ce que nous avons voulu faire c’est corriger tout de suite des fautes de jeunesses, remettre dans le droit chemin, soigner le mal à la racine et lui éviter dans le futur ce qu’a fait Christophe, si celui-ci avait eu un JCO dans son jeune âge, il aurait été marqué et au moment de garder cette balle au lieu de la donner, il aurait eu un petit rappel et aurait fait cette passe. Mais Christophe n’a pas eu cette chance.

 

Pour finir « moi » voudrait que le JCO fasse un « méa culpa », là je ne comprends pas ! Pourquoi devrions-nous nous excuser d’avoir empêché un jeune joueur de sombrer dans l’excès de personnalité.

 

Maintenant voilà qu’Arnaud D nous reproche de ne pas encourager les VCO comme le font « les jeunes groupies » sur le bord du terrain. Mais simplement parce que nous n’en avons pas besoin et que nos vieilles cordes vocales doivent se ménager pour les chants d’après match, et je suis convaincu que vous préférez cent fois les douces voix de ces charmantes demoiselles pour vous émoustiller, mais attention à ne pas vous laisser griser par le chant des sirènes, on a une fâcheuse tendance ensuite à trop vouloir en faire, mais nous veillons rappelez-vous.

 

Quand je disais ci-dessus que cela ne servait à rien, c’est que notre simple présence suffit à encourager les VCO et à les faire se sublimer.

 

Est-ce ce qu’on appelle la force de l’âge ?

 

Maintenant certains s’élèvent contre cet état de fait c’est leur droit, mais … c’est un état de fait et ce n’est pour rien que j’ai pris comme nom « Irréfragable » dont la définition est : « Qu’on ne peut contredire » et en matière de loi c’est encore plus précis : « L'irréfragabilité rend irrecevable l'offre d'administrer la preuve contraire. ». 

 

Une autre information qui va sûrement vous intéresser, j’ai lu quelque part que le houblon avait des vertus soporifiques, j’en connais certains qui vont se plaindre d’insomnies et prendre ce prétexte pour mieux dormir.

 

 

Mais bon maintenant venons en aux matchs et les nominés pour chaque rencontre.

 

Match contre Ponthierry : Au cours duquel nous avons assisté à une nouvelle arme dans la panoplie technique de Radu, il s’agit du Rafou et celui qui l’a pris dans la figure est marqué à vie. Donc maintenant il y a le Rafou du Radu.

 

-          Birdy : Un en avant et une passe à l’adversaire.

-          Le n° 21 (mince) pour le différencier car il y avait deux n° 21, puis nous avons appris par la bouche de sa copine, qui arborait un joli ventre rond, qu’il répondait au nom de Grégoire. Donc à son actif : Une passe à l’adversaire, il rate le ballon mais pas la transformation (eu égard au ventre rond de sa copine).

-          Julien : Nous gratifie d’une énorme percée et arrivé au bout de son action il donne sa balle n’importe où.

-          Franck : En avant avec l’épaule sur le ballon ou comment confondre vitesse et précipitation. Sur un renvoi la balle est dans les airs, il se dit « je récupère la balle et ensuite j’explose l’adversaire avec mon épaule » mais manque de chance le ballon arrive trop vite et il fait tout dans le désordre.

-          Le 13 (c’est Mossot dont de mauvaises langues ont dit qu’il jouait sans licence) : Une perte de balle.

-          P’tit Pills : Un merde n’efface pas un en-avant.

-          Grand Pills : Fait une passe à Samy et enterre donc l’action. Non je suis mauvaise langue il y a beaucoup de mieux dans le jeu de Samy, maintenant il arrive à donner de bon ballon et n’envoi plus systématiquement son camarade au casse pipe.

 

Donc pour ce match l(heureux gagnant de la première Couille d’Or est Grégoire pour les quelques actions citées plus haut mais ce qui a incité le JCO a lui attribuer le trophée c’est qu’il avait amené ses copines pour troubler ry détourner le JCO de sa mission et ne pas voir ses fautes, mais nous sommes vigilants.

 

Match contre Neuilly sur Marne :

 

-          Mathieu : Qui fait son grand retour. Le 1er grief est extra match, celui-ci s’étant vu remettre la Couille d’Or lors du dernier match et comme l’exige la tradition, il se devait de l’emmener en vacances et faire un reportage photo à montrer à ses camarades au retour. Eh bien il a oublié la Couille d’Or chez lui. De plus il fait un en-avant sans aucune pression de l’adversaire et une réception en-avant.

-          Manu : qui ne fait pas les chistéras comme sait très bien les faire Yves.

-          Pierre : Super belle percée, c’est dommage que cela accouche d’une balle perdue.

-          Stéphane : En-avant.

-          Alix : Qui fait montre d’un excès de personnalité sur une action et là je cite l’une de ses copines : « Alix il se la pète, il est un peu égocentrique ».

-          Christophe : Il n’est pas nominé car nous n’avons pas vu la fameuse action qui a fait couler tant d’encre, j’étais en train de noter la phrase sur Alix sur mon carnet, et là je fais une parenthèse pour expliquer à certains VCO que je marque toujours les actions des matchs sur les premières pages de mon carnet car au fur et à mesure j’arrache celles qui n’ont plus lieu d’être car rempli, ça fait moins lourd et je n’ais pas à chercher à quelle page écrire, ça va plus vite. Ca y est ça monte jusqu’au cerveau ?

-          Une fois n’est pas coutumes, je voudrais nommer le 22 adverse : Heureusement qu’il y avait la tête de l’adversaire pour se rattraper sinon vu l’envolé qu’il a fait il se payait la main-courante.

 

Donc pour ce match la Couille d’Or est attribuée à Alix pour …, je ne vais pas vous faire la démonstration du début.

 

Vous voyez, la 1ère Couille d’Or est attribuée à cause des copines de nos sympathiques jeunes et la seconde grâce à elles. Vous voyez nous sommes pleins de contradictions.

 

De l’incertitude, de la mauvaise foi, remember !

 

 

PINO alias « Irréfragable »          




Il faut se laver le voile de la face

 

Je crois qu’il y a un temps pour tout et pour chacun, et si nous devons montrer le plus grand respect pour nos aînés, c’est ne pas leurs rendre service, que d’acquiescer à toutes leurs divagations.

Une limite a été franchie vendredi soir, limite de la mauvaise foi,  de l’aveuglement systématique envers tout ce qui touche les gros, même si là on parle plutôt d’un grand. Quand le port de lunettes ne suffit plus, on devra penser à fournir des jumelles, je parle pas de filles, on va pas non plus surveiller leur pacemaker. A l’entame de ce préambule débutant ma prose, vous aurez tout compris, à qui s’adresse cette harangue (non ce n’est pas la femelle du hareng).

JCO, le JCO, Jury de la Couille d’Or, il faut dire que là, ils ont fait fort, décerner la couille d’or à un jeune pour une faute de …jeunesse, facile. Surtout quand les équipes sur le terrain, les remplaçants et staff technico-medico-porteur-d’eau présent sur la touche et même les supporters et supportrices sur les gradins vîmes cette action unique et rare, «ce qui est unique et sûrement rare alors que cela peut-être rare mais pas unique, mais on en reparle à la prochaine fermeture du club house » donc je disais : action unique et rare, un superbe 5 ou 6 contre 1 à 10 mètres de l’en but, manger par un grand, faisant parti des gros, cet homme ayant une vie sociale, par charité chrétienne, je tairai son nom.. Les seuls a avoir louper l’action……le JCO

Et c’est en écrivant ce laïus, que le doute m’investit (sans commentaire), le JCO sera de parti pris, je n’ose y croire, Car cela fait 3 couillonné d’or de suite, qui dépasse tout juste la puberté.

Le JCO serai t il raciste ?

Faut il y voir, un flagrant délit d’anti jeunisme ?

 

Si cela devait s’avérer exact, alors je dis, diclame et riclame, que tous les joueurs du monde entier de Melun s’unisse par la main dans la main pour obtenir un mea culpa de cette institution.

 

Oui toi JCO, pour que vénérable soit de nouveau accolé à  ton nom, il te faudra reconnaître ton erreur, et soit sur, toi JCO que je serais là, l’irritante démangeaison de l’ortie à ton glabre mollet, le moustique sifflotant au lobe de ton oreille velue, signant mon nom des touches de mon clavier..MOI

 

Anonyment MOI

Y en aura pour tous
 
Pilier (N°1 et 3) :
Sorte de croisement entre un sanglier atteint de schizophrénie et de nain de jardin. Le pilier de base est généralement petit, gras comme un moine, de petits yeux porcins, de la bave aux lèvres et questionne régulièrement ses collègues de cette phrase relativement philosophique 'Quand est ce qu'on mange ?'. Il fait partie de la première ligne, avec son camarade le talonneur et son autre compagnon pilier. Ces sympathiques joueurs ont l'immense honneur de se foutre sur la gueule directement avec leurs homologues adverses lors des mêlées fermées.N'hésitent pas à croquer les oreilles des adversaires : elles sont là pour ça !

Talonneur (N°2) :
De la même sous-famille que le pilier, sauf qu'il est plus petit (et légèrement plus intelligent, mais vraiment un tout petit peu), mais possède les mêmes moeurs carnivores. Contrairement à ce qu'on peut penser, le talonneur a bel et bien pour rôle de coller un bon coup de talon dans le ballon quand le nain de jard...le demi de mêlée l'introduit dans la mêlée (Je me répète et je vous emmerde). Il lui incombe également la tâche ingrate de lancer le ballon en touche, allez savoir pourquoi !
Sans doute les créateurs du jeu trouvèrent que ce poste était trop ingrat (Son rôle se limitant à taper du talon une fois tous les quarts d'heure dans le ballon ...), jugèrent plus judicieux de lui rajouter un petit quelque chose pour équilibrer (Bien que cela reste moins fun que de coller un ballon entre les deux perches

Deuxièmes lignes (N°4 et 5) :
Avoisinant généralement les 2 mètres , ce sont les plus grands de l'équipe, et ils sont bien souvent aussi cons qu'ils sont grands ...Ce joueur bourrin (pléonasme) n'a généralement aucun scrupule à déboîter le fémur de son vis-à-vis ou à l'enterrer vivant dans l'en but. Son rôle est néanmoins important car ces deux grandes perches sont ceux qui contrôlent la direction de la mêlée, et qui sont capables de la retourner (Relativement difficile, car il faut encore manoeuvrer les 3 gros porcs en première ligne...). Leur gabarit en fait également de parfaits sauteurs en touche, les rendant adeptes des batailles aériennes.On a tendance à dire qu'un bon deuxième ligne sauteur en touche équivaut à 5 bombardiers B52

Troisièmes lignes ailes (N°6 et 7) :
Véritables cauchemars des demis de mêlée, leur rôle consiste principalement à aplatir la colonne de ce dernier lors de sa sortie de mêlée, pour l'empêcher de distribuer son ballon aux arrières. Ils plaquent généralement comme des malades, que l'on ait le ballon ou non n'est pas leur problème, on n'a qu'a pas être devant eux... Ils ne sont jamais les derniers quand il s'agit de déclencher une générale, mais sont en revanche les premiers à sortir sur carton tout postes confondus (et les premiers responsables des sorties sur blessures curieusement).

Troisième ligne centre (N°8) :
C'est l'espèce d'énorme tas de muscles au bout de la mêlée. Il est moyennement bien placé dans la mêlée (Il a les culs des deux deuxièmes lignes juste devant les yeux) mais possède un rôle assez équilibré comparativement aux autres avant. En effet, il est bien rare que ces derniers arrivent à traîner leurs grosses carcasses maladroites jusqu'à l'en but sans se faire ensevelir par une horde de crevards auparavant. Un bon numéro 8 doit se montrer percutant, et faire regretter sa naissance au malheureux qui aurait eu l'audace de tenter de le plaquer .Comprenez par là que si un petit malin pense pouvoir se la ramener en tentant un plaquage sur ce véritable char d'assaut, il y a davantage de chance qu'il finisse éparpillé aux quatre coins du terrain que d'arriver à le ralentir ne serait ce que d'un millième de seconde.Faut pas déconner.

Demi de mêlée (N°9) :
Le plus petit gabarit de l'équipe. Autant dire que le demi de mêlée doit régulièrement être remplacé, pour peu que la troisième ligne d'en face se montre pour le moins hargneuse. Son rôle consiste à introduire le ballon dans la mêlée pendant que les deux packs sont occupés à s'euthanasier joyeusement. Puis, si le troisième ligne centre ne s'en saisit pas, il le récupère à sa sortie. Notons que dans ce deuxième cas, c'est là qu'il risque le plus de se ramasser un énorme troisième ligne sur le râble (Pour reprendre les termes de l'Essec). Il doit également avoir un bon jeu au pied, s'il veut survivre assez longtemps pour finir le match, car expédier loin un ballon peut éviter le plaquage (ou pas hélas ...). •

Demi d'ouverture (N°10) :
C'est celui qui ressemble au mannequin de la pub Armani.
Généralemen t un ancien footballeur qui a su retrouver sa lucidité, il doit pouvoir alimenter intelligemment ses trois quarts en bons ballons, tout en étant parfaitement coordonné avec son demi de mêlée. Théoriquement un des joueurs les moins exposés au plaquage avec l'arrière, cela peut très rapidement changer pour peu qu'il s'aventure au delà des 22 adverses en possession du ballon. Il doit être lucide quand les avants ont le nez dans la boue et l'esprit au même endroit.

Trois quarts ailes (N°11 et 14) :
Les trois caractéristiques de ces joueurs sont leur vitesse, leur rapidité et leur vélocité. C'est tout ce qu'il faut pour être un bon ailier ! Rien d'autre. Oh, peut être savoir un peu plaquer des fois que votre vis-à-vis ait survécu aux bombardements des troisièmes lignes et que l'arrière soit encastré dans la pelouse à ce moment là, mais généralement, à part attendre qu'on vous refile le ballon directement dans les mains et filer à tout allure vers l'en but adverse, vous risquez de rentrer dans une phase de sommeil post traumatique assez rapidement.

Trois quarts centres (N°12 et 13) :
Malheureusement pour toi, si tu n'as jamais commis d'homicide volontaire, tu ne pourras pas jouer ce poste. Ces joueurs ne montrent aucune pitié pour leurs adversaires, ils ne parlent à personne, rentrent tout seuls chez eux le soir, sans doute pour aller découper leur voisine à la scie sauteuse. Ils se nourrissent exclusivement de vin chaud et écoutent de la musique bretonne durant leur temps libre.
Des gens dangereux ...

Arrière (N°15) :
Un proche parent du demi d'ouverture, mais plus complet, car en plus d'un coup de pied irréprochable, l'arrière doit savoir délivrer des plaquages impeccables et avoir une bonne vitesse de pointe.
Sans doute le poste le plus stressant du jeu, car si jamais vous vous amusez à faire le con avec vos potes les avants pour aller casser du trois quart, vous risquez fort de vous en mordre la queue en voyant déambuler à fond les ballons cette saloperie d'ailier vers la ligne d'en but. En outre, vous devez résister à une charge sauvage d'un troisième ligne et être prêt à subir une pendaison
 
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